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 [BG]Eshiwone, paladin pas comme les autres?

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Eshiwone

Eshiwone


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MessageSujet: [BG]Eshiwone, paladin pas comme les autres?   [BG]Eshiwone, paladin pas comme les autres? EmptyVen 2 Juin - 4:07

Cela fée combien qu’il est la ainsi, assis sur la barrière de son champ a coté de sa maison à attendre ?
Il ne le sait sûrement pas lui-même, il ne veut surtout pas le savoir.

Une brindille dans la bouche, la bêche abandonnée par terre alors que le ciel se couche. Le champs, ou plutôt potager vient d’être retourné. Le couinement d’un cochon le sort de sa rêverie. Ouvrant les yeux et contemplant son être, sa vie, son passé présent et futur d’un seul regard.
Le voila âgé de plus de la vingtaine désormais, savoir son âge exact est plutôt dur.
Il est né dans une ferme, comme celle ci, enfin presque. Dans les contrées verdoyante du Southshore. Non pas au bord de la mer ça aurais été trop bucolique, mais plus en hauteur, dans les collines un petit village a l’écart, même si part temps clair on pouvais voir du clocher le scintillement de l’océan bien que sa mère le dispute a chaque fois qu’il ne manquer jamais d’y aller.
Un sourire se dessine sur son visage alors qu’il vient prendre son bouc dans la main, geste qu’il a hérité de son père, à l’inverse de ses yeux. Loin des yeux azur de sa toute jeune sœur.
Son père, partis très jeune, des orcs, ils menaçaient les récoltes parait-il. Enfin l’armée de la toute nouvelle Alliance est venue prendre les hommes assez solides pour se battre. Laissant les femmes et les vieillard dans un village ou l’on tenter de chanter tout les soirs, de garder espoir de les revoir un jour.
Elle avait juste trois ans lui dans les sept ou huit, leur mère est partie vendre les pommes de terre au village voisins, et le vieux prêtre dormais encore du sommeil du juste, alors pourquoi s’empêcher de rentrer dans l’église. Retenir les rire de sa sœur toute amusé de l’interdis bravé avec autant de courage que notre père. Monter tout en haut du clocher voir la mer, elle ne l’avait jamais vue. Alors moi forcement ça me donna une excuse.
C’était magnifique, la brume disparaissait dans le matin hivernal alors que les vagues scintillés à l’horizon. Le village encore assoupis se réveillant pour une autre journée de labeur.
Elle était heureuse en se retournant pour me remercier juste avant que son visage ne se décompose en me montrant l’horizon. Un nuage de poussière, celui soulevé par des bêtes harnaché pour la guerre, pas des chevaux. Mais des créatures à la peau verte et aux yeux rougeoyant de sang. J’allais sonner l’alerte lorsque je vis une forme humaine parmi cette meute assoiffée de mort : notre mère, traînée par les cheveux sanguinolente. Seul leur cri de guerre me sortis de ma torpeur afin de faire sonner les cloches.
Et après le chaos, la peur, la mort et la souffrance.

Quelque fraction d’instant interminable après se retrouver attaché comme des animaux, un butin de guerre, ouvrir les yeux pour voir sa sœur a ses coté et l’haleine fétide du sang d’un troll nous inspectant l’œil gourmand, ses défenses aiguisés manquant de peu de nous empaler le visage avant de rire a nous pétrifier sur place.
Pleurer pour ne pas voir son village, sa maison, son existence disparaître en fumée acres.

Se réveillé plein de douleurs, et ne sentir que la tristesse et la souffrance. Ligoté comme des jambons. Il fée nuit, un feu de camps, de l’odeur de chair brûlées des sanglots.
Les sanglots de sa sœur attacher à ses cotés, d’un seul coup relever la tête. Il faut que je la protége. La voir horrifier et lever les yeux pour être horrifier a mon tour. La dépouille ou plutôt carcasse de ce qui a été notre mère avant d’être dévorer, décortiqué comme un vulgaire porc, relief d’un festin immonde. Déglutir la boule qui reste dans le fond de la gorge, lui murmurer que tout iras bien que ça va…sans parvenir a y croire soit même. Tenté de rester éveiller malgré la faim et le froid alors que désormais ma sœur est parvenue a ce monde ou l’horreur ne l’a peut être pas suivie.
Un bruit un gémissement se fée distingué, ils sort un sac de derrière moi et sans le savoir délie un peu mes liens. Etait ce des doigts froids que j’ai sentis sur mes poignets ? Ou c’est la douleurs qui me fée délirer ?
Il la sorte du sac, être à la peau bleutée presque immaculé a couleur de lune malgré les traces de sévices apparemment anciens et nombreux. Jeune enfant d’un peuple inconnu, peut être des cousins à ses elfes dont on parle des fois.
Et la voir monstrueux prendre son corps, l’attaché et l’utilisé pour la pire des besognes, perdre son innocence sous le coup de rein des bourreaux, perdre la mienne sous ce spectacle et voir l’horreur de se monde sans pouvoir crier sans risque la mort de ma sœur.
Entre les soubresauts et le ricanement inlassable elle me regarde, droit dans mes yeux, étincellement argent enfantin sans innocence ni rêve plein de larme. Un sourire ? Non un encouragement, je ne comprend pas elle attend quelque chose de moi.
Entre ses doigt une corde, celle qui était a mes poignets, éberlué je ne comprend pas ce qu’il se passe, je cherche autour de moi, a part ses tortionnaires les autre dorment… je comprend.
Elle fée diversions, dont de son âme pour notre espoir.
Sentir son cœur se serrer, plus de peur mais de volonté de vengeance et l’étouffer, la taire, j’ai des personnes à sauver. Défaire ses entraves, naviguer dans les ombres pour aller délier les rares survivants, attacher comme on le ferais avec du bétail.
Et d’un seul coup lâcher la bride a sa colère, libérer la bride de toute retenue. Je me souviens de peu de chose, sauf avoir fée tomber le brasero sur une couche qui pris feu immédiatement dans un cris mêlant mon hurlement au sien empoignant son épée à deux mains la levant l’abatant de toutes mes maigres forces, puis recommencer frénétiquement sur quiconque trouva sur le chemin me séparant de ma sœur.
Le reste fut flou, des martèlements de sabot, une charge, une déroute, des bruits d’os broyé le choc du métal contre la chair et le sang qui ruisselle en mare à nos pieds.

Le soleil n’affleurait pas encore l’horizon alors qu’éreinté, une large plaie le long de ma cuisse fit supplier a mon corps un repos que je ne pris pourtant pas alors que je découvrir le corps piétiné presque méconnaissable de ce qui a été ma sœur, écraser dans la cohue morte avant même d’avoir compris quoi que ce soit. Une personne avait tenté en vain de la sauver, une jeune créature à la peau bleutée.

Une main ganté se posa sur mon épaule avec compassion, en levant mes yeux je vis un homme en armure, il m’expliquas qu’il était une des rare « tribus » en vadrouille rescapé de la guerre, qu’ils seraient envoyé dans un camp pour que cela n’arrive plus, il est désolé pour mon village dont je suis le dernier survivant et me remercie d’avoir mis feu au camp, c’est ce qui les as avertis et la seule raison de ma survie. Il eu ce sourire qu’a toujours eu mon père quand il était fier de moi mais tellement plus triste.
« Garde cette épée mon petit, elle est tienne et tu en auras besoin, chérie la car elle seule peut protéger ceux que tu aime. »
Et il partis… me laissant la, alors qu’un soleil rouge se lève a peine sur le crépuscule de mon enfance. Je pris donc mon épée encore poisseuse de sang, entourer de cadavre, j’aida a se relever celle qui a permis d’espérer un instant qui se blottis contre moi, comme ma sœur le faisait quand elle avait perdue sa chère poupée.
Je restas un instant pantois de douleur, mon cœur brisé et jeter dans la tempête de la souffrance. Et d’un seul coup, au plein milieu de cette tourmente une seule vérité, une seule voie, je savais pourquoi je vivrais et pourquoi je me battrais, en levant mon épée tel un chevalier de pacotille j’énonças comme je put cette promesse qui serais pas vie :
« Plus jamais, personnes ne souffriras comme nous avons souffert, plus jamais, je le jure, par le sang qui a coulé cette nuit.»

Elle jura la même chose, et usant de l’épée comme d’une béquille nous nous traînâmes vers la nature.
Une caverne au pied d’un petit lac fut notre nouvelle demeure, jour après jour je construisis un abris afin que le nom de demeure ne fut pas qu’une farce. M’occupant de cette enfant s’appelant Alia d’après elle, ses blessures étaient sérieuses mais elle avait avant tout besoin de repos. Elle fut pendant peut être plus d’un an ma seule raison de me lever et d’aller inlassablement chercher de quoi manger, de quoi nous chauffer.
La nuit venue c’est elle qui s’occuper de moi, me coiffer, masser les muscles noué, et par-dessus tout me permettre de dormir sans repenser au passer a en devenir fou de désespoir. En cela ses chansons étaient une bénédiction.
Plus le temps passa plus nous devîmes proche, Je ne me souviens guère de ce qu’il fit déborder le vase je pense une nuit ou les cauchemar fut plus fort encore. Un de ses jours ou j’était allé en ville, me traîner tel un vas nus pied pour chercher a vendre quelque fruit afin de pouvoir nous acheter ce que nous pouvions nous faire par nous même. Etre insulté, rejeter, voir les regards accusateurs, je les entend encore : « Et dans quel jardins d’honnêtes paysans les a tu volé cette fois ? Tien revoilà le voleur de poules ! Tu n’as même pas réussis à en attraper en plus ! » Je passe des railleries mais les tomates même avarié étaient une denrée que nous ne pouvions nous passer.
Revenir au soir, avec l’affreux goût de l’échec et douter qu’ils n’avaient pas tort, je ferais mieux de les laisser tranquilles. Alors elle me réconforta, être dans ses bras effacer mes doutes, l’impression d’être une personne de bien, croire en l’espoir, et surtout ne pas oublier que nous avions, ensemble une promesse. Ce genre de soir ou nous nous sommes déclarer frère et sœur de sang, celui qui à couler.
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MessageSujet: Re: [BG]Eshiwone, paladin pas comme les autres?   [BG]Eshiwone, paladin pas comme les autres? EmptyMer 3 Jan - 22:23

Mais au petit matin avoir l’impression de, de plus qu’un lien de famille, ou on ne sais quoi d’autre encore, peut être cet Amour que partagé mes parents.
Ce matin ou elle m’as repousser d’un geste peut être trop attentionné, et je me souviens de ses paroles qui m’ont blesser plus que je ne le penser a l’époque : « Vis pour toi ». Simple mais vrai. Elle me dit que plus jamais elle ne me verrait, afin que je puisse vivre, pour que notre promesse soit. Je ne voulais pas que cela soit, c’était comme me retrouver seul a nouveau, mais elle n’avait pas tort en me disant que moi je pouvais être en ville, que moi je pouvais demander asile. Que cela est normal de me traité ainsi en me voyant ainsi crotté. Je parviens a lui demander de ses nouvelles, que nous
garderions contact, mais que la ou je serais elle ne seras, pour que
nous ne soufrions pas.
Le lendemain elle avait disparut, je démontas alors ce qui avait été notre chez nous, récupéras la moindre chose de valeurs.
Arriver en ville je réussis a tout vendre m’étant laver et elle avait repriser mes vêtement avant de partir. Avec mon maigre pécule je me présentai à l’orphelinat, on me fit attendre, encore et encore. Puis une personne âgée celle qu’on aime pas quand on est petit, celles qui font peur me demanda pourquoi j’était ici, j’était assez grand pour vivre par moi-même.
Sans me démonter, têtu et résolu je lui fis par de mon histoire, et elle fus surprise quand je lui dis ne pas vouloir être simplement à l’orphelinat mais y
travailler, que je voulais contre un logement et de la nourriture mérité bien sur, aider les enfants qui comme moi on étaient victimes de la guerre. Je me présenté pas tel une victimes mais un volontaire. On me donna une paillasse dans l’écurie, ce qui était pour moi un vrai palace, me fis faire les tache les plus ingrate, au moins je servais à quelque personne et ce travail si désagréable au moins c’est moi qui devait l'endosser : j’était heureux de leur empêcher ce labeur et je me mis ardemment au travail. Si bien qu’avec le temps on me prit pour l’un des leurs, un grand frère pour les pensionnaires devenus peu à peu des camarades de jeu et un enfant de confiance pour les adultes. M’acquittant de tous les travaux sans même que l’on me les demanda, peut à peut cela devint chez moi.
Les jours, les mois passérent,sans oublier les soufrances et ma chance d'être encore en vie je fis mon possible pour en être le plus digne possible. Les nuits sont courtes a cet age la, les journées longues mais heureuse, même un travail pénible ou dégradant est toujours un plaisir quand on voit lesourire naître sur les lévres des personnes qui nous entourent ou même
de quiconque.
La vie de la ville me fesais un peu peur, mais celan'a pas été un obstacle, bien au contraire, je pouvais de plus parler au paysans venant vendre le fruit de leur récoltes a l'orphelina en connaisance de cause et en égal, ce qui semble plutot rare. Et ce recul me permis d'apprécier encore plus la beauté d'une telle Cité naissante, me possant des fois de nuit sur les tois de l'orphelina pour voir les fléche de la cathédrale se détacher sur le fond d'étoiles scintillantes.
La cathédrale, mon dernier refuge, un jour qu'un oncle d'une jeune fille
était venue réclamer 'son du' en la personne de sa nièce et a des fins
je le craint bien trop perverse je me suis interposé, mais un enfant de
treize an ne peut faire face a un véteran de la Guerre. Molesté, j'ai
réusis à retenir mes larmes et encaisser assez les coups le temps que
la garde n'arrive et ne fasse fuir la brute. Après avoir mis au lit la
jeune enfant, je suis sortis pour laver mes plaies à la fontaine comme
je put.
La il y avait un homme, un livre a la main plutot étonner de me voir, j'eu le reflexe de vouloir me cacher, honteux de mon état. Mais son sourire et sa franchise m'amadoua. Il m'aida, patienment à me panser, prennant dans les étoffes même de sa riche chemise pour me faire un bandage a la tempe. Je lui racontat tout, absolument tout, il resemblais tant a mon pére que j'e ne pouvais rien lui taire. Il ne fis que sourire, me congratulant, étant, comme un oncle lointaint le temps d'une soirée, finissant par me raconter sa jeunesse, ses histoires de coeurs, mais malgrès cela je me rendis compte une fois qu'il me racompagna à l'orphelina que je ne savais rien de lui, ni même son nom.
Le lendemain, nul traçe de lui, envolé, disparut. Alors je m'en suis allé
au bout de deux jours voir a la cathédrale pour en discuter avec un
prétre assez agé que j'avais en affection.
Sur le chemin je me rendis compte que quelque chose se passais : une parade !
Des combatant revenaient d'un lointain frond et passaient dans la foules en
liesse sous les bravo et les fleurs lancer par les citadins. Je me fis une place me faufillant comme je pus entre les spectateur, mon père serais peut être parmis les héros . Une mains qui se glisse entre les habits, une bourse subtilisée, je me pourfand pour attraper le bras du sacripons, il se débat, je tire dessus, entre les adulte nous usions de notre taille mais a l'aveugle je ne lachais pas prise, tirant un coup sec j'ai réusis a lui arracher la bourse mais j'ai du y aller trop franchement, mon équilibre fut perdus, tombant les fesses les premiere au beau milieu de la voie , face au premier rang : Des Paladins, des Chevalier de la Main d'Argents dans leur armure étincellante et leur regard sévéres. On criais déjà au voleur que je me suis acroupie, me levant pour crier que je n'avais pas fée ce méfait, impétueux mais surtout ne me rendant pas compte de la situation et des regards possé sur moi. Alors que les injures on commencer et le propriétaire de la bourse vien me l'arracher des mains me traitant de tout les nom une main se posa sur mon épaules, une lourde main, ferme mais douce. Une voix que je reconnus de suite renvoya le badaux dans les rang, lui dissant qu'il s'occuperais de moi et jugerais comme il se doit, s'il y a crime ou non.
Je me souvien de son sourire, tellement différent
dans son armure mais la même personne en dessous, celle qui d'un clin
d'oeil me fis entrer dans la cathédrale à ses cotés. Il pris le temps de tout entendre, lui et un de ses compagnons alors que le pére que je connaisais venais confirmer mes dires.
Malheureusement, l'homme à qui la bourse a était dérobé était un marchant, peu riche mais proportionnellement encore plus prompt a se faire valoir face au pouvoir.
Les compromis furent impossibles. Le Chevalier Athion se dis s'occuper de tout, mais il devait savoir une ou deux choses sur moi, et alla voir l'orphelina, me laissant seul dans une des contre chambres de la Cathédrale, ou pendant quelque heures je contempla, car c'est le seul terme, les nobles hommes entrain de s'entrainer, de prier. J'était subjuger, retenir ma curiosité pour ne pas les perturbé dans leur saint offices.
Une révélation, plus qu'autre choses, je savais ce que je voulais faire, et quelle serais ma voie, ce qui seras ma Lumiére et au nom de quoi je voulais me battre. Alors que Athion revint les autres chevalier m'avaient vus et donner une épée pour venir a leur coté, amusé. Il me sourit, mais un air plus grave me retins de lui sourire.
Un choix me dit il, un choix qui engagerais toutes ma vie m'était offert, devenir un membre de la Main d'Argent, il fut presque amusé de mon rapide décision, lui laissant à peine le temps de finir sa phrase pour lui fair par de ma vocation.

C'est alors que je connus les plus dure mais juste année de ma vie.

Quelque jours après, une visite a l'orphelinat effectué pour dire aurevoir a
tout c'est gens qui furent pour moi une nouvelle famille, et sous couvert d'une arrestation, ils me firent partir dans un couvent dans les montagnes d'Altéracs. Je ne préfére pas revenir sur le voyage en lui même qui fut une épreuve, j'y découvrit un autre aspect du peuple des Nains qui résident dans ces montagnes. Erinté, épuisser le monastére aussi spartiate puisse t'il être me semblais un havre de douceur.
Après, l'entrainement, aussi physique que mental que spirituel fut mon lot
quotidien. Les scéance de méditation sous les tempétes de neige, les
transport de pierre gelée, l'apprentissage de l'écriture et de la lecture dans les saint ouvrages. Aussi dur que profondement humain mes maitres furent des exemples qui ont forgé la moindre parcel de l'homme que je suis désormais. La seule ouverture que l'on avait du monde exterieur était les livre, conte et roman chevalresque et ils ont berçés plus d'une de mes nuits.

L'apprentissage de la forge, dans sa débauche de bruit, de chaleur me parut comme un instant privilégié, au chaud et dans un tel vacarme que l'on ne pouvais plus entendre que ses propres pensés. Je sais que je n'avais pas les
meilleurs résultat, et au lieu de m'en vouloir pour cela, c'était un moteur pour donner toujours plus de moi, m'epuissant toujours plus, m'éprouvant toujours plus. Depasser mon état et me sublimer dans la cause. Chaque douleurs ne faisait qu'accentuer ma volonté d'y parvenir, chaque soufrance fut une pierre de plus sur l'autel ou j'allais prier chaque soir.
La méditation me permis d'accepter mon passé, la mort de mes parents, et le dépard de l'étrange créature.
Je n'avais plus qu'une raison d'être, ma promesse et ma vocation n'étant
qu'une, je m'y vouais corps et âme. Compassion, Respect, Tenacité, sont
devenu mes seul mots d'Ordre, dans la complexité que cela peut être dans la méditation et la Lumière fut peut a peut partie de moi.

Je pourais me souvenir et conté ici plus que c'est mince ligne sur ce
passage la de ma vie, je le pourrais mais il est dur d'en faire quelque
chose de court, et ma vie a tellement changer depuis...

Je me
souvien de la caravane qui me fis partir, a nouveau pour le sud, pour
l'abbaye du Comté du Nord. La ma destiné de Paladin pouvais alors
commencer ...
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